CSDHI – Une femme ingénieur, s’est suicidée, aussitôt après avoir été libérée d’un centre de détention du ministère des renseignements, à Kermanshah, dans le nord-ouest de l’Iran. « Mahdis Mirghavami, qui a été violée par des agents secrets, s’est suicidée. Elle a été convoquée dans un bureau du ministère des renseignements, le 24 janvier et détenue pendant deux jours », selon une source.
La famille de Mirghavami a été avertie de rester à l’écart de la presse.
C’est une histoire terrible qui n’est malheureusement pas unique, mais les responsables iraniens ont souvent nié toute revendication de viol dans les prisons.
Source : Les militants des droits de l’homme en Iran