Selon le quotidien Ressalat du 31 octobre, le directeur de l'organisation carcérale en Iran a déclaré qu'il y avait aujourd'hui 140.000 détenus dans ce pays. Le nombre de personnes dont la présence est dangereuse dans la société et qui doivent rester en prison est juste de 10.000 ou 12.000 personnes, a-t-il ajouté.
Au début de la réunion du Comité sur la réduction des peines, Ali Akbar Yasaguy a indiqué que l'emprisonnement des gens pour cause de dette ou d'amende ne figure pas dans la charia.