SPUTNIK – Aujourd’hui la signification mystique et religieuse du rituel a été oubliée: Chaharshanbe Suri est devenu une fête amusante et marquante en prévision des célébrations de fin d’année, une période quand il faut se rappeler avec gratitude de l’année qui se termine. Le dernier mercredi de l’année, comme le veut la tradition, les représentants de la diaspora iranienne ont organisé la Fête du feu dans la ville canadienne de Calgary.
Pour les Iraniens, les fêtes de fin d’année commencent le dernier mardi de l’année indépendamment du pays où ils se trouvent: c’est le Chaharshanbe Suri — qui se traduit littéralement comme « mercredi du feu ».