CSDHI – Parce qu’ils ne peuvent pas contrôler tous les réseaux sociaux sur Internet, les mollahs leur font la chasse en Iran. Ainsi Abdul-Samad Khoram Abadi, vice-procureur général a décrété qu’ “être membre d’un site filtré (soumis à la censure) est un délit ».
“Quand quelque chose devient illégal sur ordre judiciaire, ne pas suivre la loi est considéré comme une sorte d’infraction”, a-t-il expliqué doctement.
“Twitter est filtré sur ordre judiciaire et désobéir à un ordre est inacceptable”, a-t-il ajouté sans dire ce qu’il pensait du compte twitter du guide suprême ni de celui du président des mollahs.
(Site Alef, 14 aout 2017)