Qui sommes-nous?

Le Comité de soutien aux droits de l’homme en Iran (CSDHI) a été fondé en décembre 2004 par des victimes de la répression du régime en Iran, réfugiées en France. Selon son statut, l’objectif de l’association est de promouvoir les droits de l’Homme en Iran, de soutenir les partis et les organisations qui luttent pour la démocratie en Iran et d’encourager et d’organiser des actions et des manifestations contre les violations des droits de l’Homme en Iran au niveau international.

Nous croyons que la meilleure façon de faire face aux exactions est de parler, en détails,  des faits qui se produisent. L’historien contemporain iranien, Ahmad Kasravi, a écrit : « L’audace est l’une des plus noble qualités qui ne se propage qu’à travers les récits d’histoire des audacieux. » Nous croyons que les droits de l’Homme, les droits fondamentaux des êtres humains qui mènent une lutte commune tout au long de l’histoire de l’humanité, ne se solidifient qu’à travers le récit détaillé des violations, des intérêts politiques et surtout de l’usurpation du pouvoir politique par ceux qui n’en sont pas dignes, ne sont pas légitimes et ne détiennent aucun mandat populaire pour le faire.

Hommage aux victimes en Iran

Le professeur Kazem Radjavi, qui enseignait dans les universités suisses et françaises, premier ambassadeur iranien auprès des Nations unies à Genève après la chute du chah, disait : « l’Histoire des droits de l’Homme s’écrit avec le sang. » Nous croyons qu’il faut chercher les premiers défenseurs des droits humains parmi ceux et celles qui luttent pour les établir. Donc essayer de présenter, de faire connaitre et de rendre hommage à ces combattants des droits qui n’hésitent pas à sacrifier leurs biens les plus valeureux pour cette lutte. Nous ne croyons pas aux droits de l’Homme sans orientation ni identité, car un tel phénomène reste vague et instable. Les pratiques respectant les droits de l’Homme ne se stabilisent que par ceux qui ont peiné pour les acquérir et qui ont goûté l’amertume de leur absence.

Kazem Radjavi, devenu grand critique du régime des mollahs quand ces derniers ont usurpé le pouvoir, a fondé la condamnation du régime iranien dans les plus hautes instances internationales comme la Commission des droits de l’Homme et l’Assemblée générale de l’ONU,  pour être finalement criblé des balles  en 1990, à quelques pas du Palais des Nations, par des terroristes envoyés d’Iran sous couvert de diplomates à Genève.  Ahmad Kasravi a été sauvagement assassiné en 1945, dans palais de justice et devant le juge d’instruction, par des islamistes intégristes agissant en toute imunité.

Dire la vérité a toujours eu un prix. Partout où les droits de l’Homme sont bafoués, les violateurs comptent sur la peur des victimes pour les réduire au silence. L’important est de ne pas avoir peur de payer ce prix.

Le CSDHI tente, depuis 2004 et dans la limite de ses moyens, de dénoncer la situation dramatique des droits de l’Homme en Iran. Ce site entre dans le cadre de ces efforts.

Adresse : 42 rue de Maubeuge, 75009 Paris

Email : [email protected]

Les parrains du CSDHI

Rama Yade Rama Yade 

Elle est secrétaire d’État chargée des Affaires étrangères et des Droits de l’homme de 2007 à 2009, secrétaire d’État chargée des Sports jusqu’en 2010 dans le gouvernement Fillon II, puis ambassadrice de la France à l’UNESCO avant d’être conseillère régionale d’Île-de-France de 2010 à 2015. Le 21 avril 2016, elle se déclare candidate à l’élection présidentielle de 2017 sous la bannière de son propre mouvement politique indépendant La France qui ose.

 

 

ingrid betancourt

Ingrid Betancourt

Colombo-française, elle est candidate à la présidentielle colombienne en 2002, enlevée par les FARC et maintenue en captivité pendant plus de six ans dans la jungle amazonienne. Elle est désignée présidente d’honneur des Verts mondiaux lors du congrès du même nom en mai 2008 au Brésil5. Elle est élevée au grade de chevalier de la Légion d’honneur, reçoit le prix Princesse des Asturies de la Concorde et Women’s World Award (en), et son nom est proposé pour le prix Nobel de la paix, le prix Petra Kelly et le prix DVF, entre autres.

 

 

william bourdonWilliam Bourdon

De 1994 à 2000, Me William Bourdon est secrétaire général adjoint, puis secrétaire général de la Fédération internationale des droits de l’homme. En octobre 2001, il fonde l’association Sherpa, dont l’objet est de « défendre les victimes de crimes commis par des opérateurs économiques », et il en est actuellement le président. William Bourdon a été l’avocat de Transparency International, de l’association Survie et de la Fédération des Congolais de la Diaspora (FCD)
Avocat au barreau de Paris, il est l’initiateur des premières procédures engagées en France à l’encontre de certains responsables de crimes contre l’humanité, notamment serbes et rwandais. Il est également l’avocat de familles franco-chiliennes victimes du dictateur Augusto Pinochet.

 

tahar boumedraTaher Boumedra

Tahar Boumedra a enseigné durant dix ans le droit à l’Université de Constantine. En 1991, il quitte l’Algérie pour le Royaume-Uni et devient secrétaire général adjoint de la Société africaine de droit international comparé (ASICL). Consultant à la Commission africaine des droits de l’homme, il a été responsable de sa revue. En 2004, il intégre un organisme basé en Jordanie pour aider les pays du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord à réformer leurs systèmes pénal et carcéral. Il rejoint l’ONU en 2009 en tant que chef du bureau des droits de l’homme de l’UNAMI en Irak où il est plus particulièrement chargé du suivi de la situation à la cité d’Achraf. Après l’attaque de juillet 2009, c’est lui qui effectue le décompte des victimes.

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