CNRI – Mohammad-Javad Larijani, le conseiller en chef du pouvoir judiciaire des mollahs en Iran et un idéologue du régime clérical a déclaré : "la lapidation n'est ni une torture ni un châtiment impropre", a annoncé l'agence de presse officielle ISNA le 30 septembre.
Admettant qu'il n'y a aucune mention de la lapidation dans le "Saint Coran" ou dans les enseignements "du prophète Mohammad," Laridjani a dit : "Aussi longtemps que cela sera [écrit] dans nos lois, il sera approprié de la part des juges de prononcer ce genre de châtiment (…) Il est évident que la lapidation est une peine moindre en comparaison à la pendaison puisque [la victime] a une chance de rester en vie après la lapidation."
Laridjani, un fervent partisan des châtiments inhumains comme l'a dit précédemment le chef de Pouvoir judiciaire, Mahmoud Hachemi Chahroudi, a encouragé ce châtiment avec une légère réserve sur "comment c'est appliqué."
La Résistance iranienne attire l'attention du Secrétaire général des Nations Unies, du Haut commissaire pour des Droits de l'homme, du Conseil des droits de l'homme de l'ONU et de toutes les organisations des droits de l'homme dans le monde sur la montée des violations systématiques des droits de l'homme en Iran. Elle appelle aussi au renvoi du bilan épouvantable des mollahs en matière des droits de l'homme devant le Conseil de Sécurité de l'ONU pour l'adoption de décisions obligatoires.