Salari-Kia, le procureur adjoint de Téhéran s'est dit favorable à la peine de mort des personnes arrêtées dans le cadre du plan de sûreté publique : « Si ces détenus sont condamnés à mort, ces verdicts devront suivre leur cours judiciaire, mais cela ira vite. »
Dans une interview avec l'agence de presse Fars, il a ajouté : "En ce qui concerne la sécurité publique on ne peut pas trouver quelqu'un qui s'y oppose. Aucun des responsables ne s'opposent dans le principe à ce plan pour augmenter la sécurité dans la société. Nous aussi dans la système judiciaire nous y croyons et nous l'appliquerons."
il a insisté sur la poursuite de la répression des femmes et des jeunes dans le cadre du plan répressif de sûreté publique. « Nous pensons que le plan de sûreté publique ne doit pas être provisoire mais continu", a rapporté le journal officiel Djomhouri-Eslami du 6 janvier.