La campagne internationale pour les droits humains a écrit qu’à 18h, le 3 novembre, après l’appel, Chirkou Maarefi et Motalleb Ahmadian qui avait été condamné à 30 ans de prison, ont été convoqué au centre des gardiens. On leur a dit qu’ils allaient être sanctionnés pour avoir fumé dans la section sanitaire.
On leur a menotté les mains et les pieds et on les a emmenés en cellule d’isolement.
A 6 heures du matin, en présence d’agents des services de renseignement, Abdi Nia, le gardien, et Norouzi, le chef de la sécurité, Chirkou a été transféré à la réception du parloir où il a été exécuté. Ni Chirkou, ni l’autre prisonnier politique de la prison de Saghez ne s’y attendaient.
(Radio Zamaneh, 5 novembre 2013)