Le chef des Cours d'Appel du régime dans la province de Téhéran, Mohammad Ali Khani a reconnu que des peines de lapidation avaient été prononcées, a rapporté le quotidien gouvernemental Etemad du 1 février.
"Si la loi prouve que le crime a été commis, a-t-il dit, alors les juges prononceront des peine de lapidation. Les législateurs ne vont pas permettre de sentence de substitution pour le crime. La lapidation est une forme de châtiment différente de la [simple] exécution. »
Le 27 juin 2006, le régime a condamné à mort une femme, Achraf Kalhori, par lapidation. Le régime annonce souvent des châtiments aussi cruels que la pendaison pour couvrir les peines de lapidation en Iran.