CSDHI – C’est un besoin vital. Sans exécutions, le régime intégriste et fasciste ne peut rester en place en Iran. Le rythme des pendaisons indique son degré de fragilité et d’instabilité. En ce moment, il frise le « Très fragile ».
Ainsi le 7 mai, trois condamnés ont été pendus à Sari dans le nord du pays. Ce qui porte à 39 le nombre d’exécutions en mai et à 414 depuis le début de 2015.