CSDHI -Comme nul ne sait où sont enterrés les siens, le sol du cimetière de Khavaran en Iran est jonché de fleurs déposées par les familles comme autant d’étoiles qui illuminent le ciel de la liberté. Mais ce champ d’âmes est déclaré zone interdite. Et chaque commémoration connait son lot d’arrestations, qui ont souvent conduit à de nouvelles pendaisons politiques.
Chaque année, les forces de sécurité empêchent les familles des victimes du massacre des exécutions politiques de l’été 1988 en Iran de venir se recueillir sur ce sol gonflé d’innocence. 30.000 martyrs de la liberté disséminés à travers l’Iran.
Un crime contre l’humanité qui doit être jugé. Cela n’a pas suffit aux mollahs, qui comptent à leur actif 120.000 exécutions politiques. Depuis l’arrivée du férocement modéré Rohani, 2000 personnes ont été exécutées, dont 56 femmes et de nombreux détenus politiques. Il faut arrêter cette hécatombe.
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