CSDHI – Des milliers de mères pleurent leurs enfants en Iran : pendus, exécutés de sang-froid d’une balle dans la tête, parfois, certains disparaissent. Le Dr. Masumeh Bolurchi, mère de Rahman, son fils unique, a été tué d’une balle dans la tête il y a deux ans de cela, dans le camp des réfugiés iraniens en Irak. Elle témoigne.
Eloquents, poignants, les mots de Masumeh Bolurchi se veulent surtout utiles et se joignent aux cris, parfois non entendus de ces mères qui perdent leur enfant parce qu’une dictature gouverne l’Iran.
N’oublions pas que ces femmes et ces hommes, parqués dans un camp de réfugiés en Irak ont été reconnus par les Etats-Unis comme des « personnes protégées » en vertu de la Quatrième Convention de Genève, et que chacun d’eux ont reçu une carte « personne protégée ». Sans oublier que les Nations Unies ont également promis de les protéger.
N’oublions pas non plus, ces femmes et ces hommes exécutés par le gouvernement de Rouhani, soumis aux ordres du guide suprême, l’Ayatollah Ali Khameini.
Le Dr Masumeh Bolurchi, mère de Rahman