CSDHI – Un détenu politique incarcéré à la centrale de Gohardacht en banlieue de Téhéran, s’est plaint le 20 août à sa famille venu le voir de souffrir d’ondes parasites diffusées par les autorités pénitentiaires comme un moyen de torture.
Ce n’est pas la première fois que le régime iranien utilise ce procédé qui déclenche des nausées, des étourdissements et de violents maux de tête.