CSDHI – La grève de la faim des prisonniers politiques à la prison d’Oroumieh dans le nord-ouest de l’iran lancé le 19 novembre, est aussi suivie par des prisonnières depuis le 1 décembre, apprend-on sur le site de la commission des femmes du Conseil national de la Résistance iranienne. La demande principale des grévistes est d’être séparés des condamnés de droit commun et de voir cesser les traitements inhumains dont ils font l’objet.
Les lignes de téléphone avec les grévistes ont été coupées.
La grève a pris une nouvelle tournure depuis qu’elle est menée par l’ensemble des prisonniers politiques kurdes d’Oroumieh, et de leurs camarades, hommes et femmes à la prison de Gohardacht près de Téhéran, Zahedan (sud-est), Sanandaj (ouest) et dans le sud du pays.