CSDHI – Une épidémie de criquets pèlerins se propage rapidement dans six provinces iraniennes, selon des agences de presse officielles.
« La sécurité alimentaire du pays sera menacée si la crise des criquets pèlerins qui frappe nos six provinces du Sud n’est pas maîtrisée ». « Le crédit de 10 milliards de tomans (2 107 975 euros) n’a pas encore été approuvé », a déclaré le responsable de l’Organisation pour la protection des céréales.
Le site web officiel, IRNA, a écrit qu’une grande partie de ces criquets peuvent couvrir 1 000 kilomètres carrés et détruire 100 000 tonnes de végétation chaque jour.
Ces criquets sont des espèces du désert ou de la mer et sont les plus dangereuses. Ils ont été répandus par des vagues humides de la péninsule arabique à l’Iran et ont envahi les champs du Khouzistan, de Bushehr, de Fars, d’Hormozgan, du sud de Kerman et du Sistan-Balouchistan.
Selon des documents et informations, la dernière vague de criquets en Iran remonte à 1961 et 1963, et de nombreux dégâts ont été causés. Mais au cours des 40 dernières années, l’Iran n’a pas connu une telle situation.
Il ne fait aucun doute, une telle catastrophe résulte du pillage, de la mauvaise gestion et de la négligence du régime et de ses responsables, qui ont causé des dommages irréparables à l’environnement iranien au cours des 40 dernières années.
Les récentes inondations, qui dure depuis un mois, n’est pas une catastrophe naturelle mais est bel et bien le résultat du non-respect des discussions techniques d’experts lors de la construction de barrages, qui sont souvent sous le contrôle des Gardiens de la révolution (des pasdarans), du manque de dragage des rivières, de constructions à proximité des rivières et des cours d’eau. Elles ont causé des pertes en vies humaines et des dégâts environnementaux.
Une explosion qui a tué des centaines d’iraniens et touché environ 12 millions de personnes.
Source : Iran News Wire