CSDHI – Le sida parmi les enfants iraniens qui travaillent est ahurissant, c’est à dire 45 fois plus élevé que dans la population générale, a admis le ministre de la Santé du régime.
Une recherche récente montre que 45 enfants sur 1000 qui travaillent – ou 4,5 % – ont le sida ce que le ministre qualifie d’« alarmant ».
Sur ces enfants infectés, 15 % ont admis avoir utilisé des drogues illégales, parmi eux 4,6 % se sont drogués par injections. Ceci, combiné avec une sexualité malsaine sonne la sonnette d’alarme du SIDA en Iran, selon les autorités.
Les enfants travailleurs et les enfants de rue sont ceux qui sont envoyés de force dans les rues en raison de l’extrême pauvreté de leurs familles. Ils essaient de gagner de l’argent en mendiant, à la recherche de déchets ou en vendant des bonbons. Leur nombre a augmenté ces dernières années alors que davantage de familles sont tombées en dessous du seuil de pauvreté.
Les analystes en Iran pensent que le régime dépense la valeur de 40 % de son budget en équipement militaire, dans son appareil de renseignement et de sécurité, son programme d’armes nucléaires et l’exportation du terrorisme dans les pays de la région.
Cette politique a provoqué une inflation de plus de 50 % et un chômage de 30 %. Des statistiques récentes montrent que près de trois millions d’enfants iraniens âgés de moins de 18 ans, soit 22 %, des ne sont pas scolarisés. Au moins la moitié de ces enfants sont forcés de travailler.
Les mollahs ont détruit les ressources humaines du pays, dilapidé les énormes richesses et précipité la population dans la pauvreté.