CSDHI – la presse officielle en Iran se hâte toujours de rapporter les horreurs auxquelles se livrent les mollahs. Ainsi donc elle a fait une belle place le 22 aout à l’appliction d’une peine cruelle sur un détenu en place publique: l’amputation de quatre de ses doigts de la main droite, dans la province de Yazd, au centre de l’Iran.
Le condamné était accusé de vol.
Régulièrement en Iran, la guerre du pouvoir entre factions fait éclater des scandales où les dirigeants s’accusent mutuellement d’avoir détourné des millions, voire des milliards de l’argent public. Ces malversations contribuent grandement à l’appauvrissement de la population.
Ces pontes ne sont jamais arrêtés pour ces vols faramineux, sauf si cela entre dans le cas d’une purge politique. On peut aussi constater qu’il ne leur manque pas un doigt ni des mains ni des pieds. La logique des mollahs voudrait qu’il ne leur reste ni bras ni jambes…