CSDHI – Une activiste sociale, Hakima Chokri, se trouve dans le quartier des dangereux détenus dans la prison de Qarchak et elle est sur le point de perdre la vue.
Les autorités pénitentiaires, tout en empêchant son traitement, vont jusqu’à la priver de médicaments, déclarant « nous sommes confrontés à une pénurie de médicaments ! ». Ceci tandis que la famille de cette prisonnière lui avait emmené des médicaments à la prison pour soulager sa douleur et les ont remis aux responsables de la prison.
Seddiqa Chokri, la sœur de Hakima, a annoncé que la maladie de sa sœur était « due à une sécheresse des conduits lacrymales ». Ceux qui souffrent de cette maladie ont besoin de gouttes de larmes artificielles pour empêcher la sécheresse des poches lacrymales ou doivent subir une intervention chirurgicale. Si ce n’est pas traité, cette maladie peut conduire à la cécité.
Source : les actualités iraniennes