CSDHI – Masoume Dehghan dit que son mari, Abdulfattah Sultani, est incarcéré dans des conditions désastreuses et cela fait quatre ans qu’il est privé de permission.
La femme de Sultani a stipulé le fait que les prisonniers en Iran sont privés de leurs droits les plus élémentaires, ajoutant : « Ce prisonnier souffre de maladies intestinales. Cela fait déjà un certain temps qu’il souffre d’une hypotension qui s’aggrave. Il y a 18 mois, nous avons fourni un document pour un 1 milliard de rial de caution (environ 34 000 $) et ce dernier a été approuvé. Mais le procureur adjoint a dit que ce prisonnier ne bénéficie d’aucun arrangement pour qu’une permission lui soit accordée ».