CSDHI, le 9 janvier 2016 – L’affaire de l’activiste civile Atena Daemi, détenue dans la prison d’Evine de Téhéran, tombe dans l’oubli et malgré le fait que cette affaire ait été transférée à la Direction générale 36 de la cour d’appel, elle a été mise en attente en raison d’une pénurie de juges.
Il est intéressant de noter que cette militante civile a été privée de nouveaux soins médicaux suite à la publication de photos dans les médias sur un précédent transfert à l’hôpital. Les agents de la sécurité avaient dit à sa famille : « Vous êtes sur une ligne rouge et c’est la raison pour laquelle nous ne lui permettrons pas être transférée en dehors de la prison ».
Amnesty International a appelé à la libération inconditionnelle de Daemi. Cependant, cet appel est resté complètement ignoré par les responsables du régime iranien.
Source : Hrana