CSDHI – Les fonctionnaires de l’Etat iranien admettent souvent que la pauvreté a pris une image féminine. Cependant, aucun d’entre eux ne lie la pauvreté des femmes aux politiques misogynes du régime et à la flambée du taux de chômage des femmes.
Farahnaz Rafe’ii, chef de l’Organisation des Volontaires du Croissant-Rouge, a annoncé le 28 février : « Les femmes qui dorment dans des boîtes en carton dans les rues louent leurs enfants 15.000 de toumans (5 $) par jour pour mendier ou les vendent pour 2 millions de toumans (environ 670 $).
Source : Club des jeunes journalistes