CSDHI – Un important rassemblement aura lieu au Bourget le 9 juillet pour exposer les mensonges et les mythes sur la modération du régime iranien.
Cet événement se déroule chaque année et des dignitaires du monde entier y assistent : de hauts responsables politiques, des chefs religieux, des militants des droits humains et droits des femmes.
Lord Maginnis, un membre de la Chambre des Lords britannique et du Comité parlementaire britannique pour la liberté en Iran, a déclaré : « Ils représentent un large éventail de tendances politiques, mais tous entérineront l’idée que le régime iranien, par son ingérence régionale et son soutien au terrorisme islamiste, est la cause première des problèmes les plus urgents auxquels doivent faire face actuellement l’Europe et le monde dans son ensemble ».
Ils rejettent complètement l’idée que le régime soit modéré, citant le nombre élevé d’exécutions, la torture et les châtiments corporels perpétrées par la dictature.
Amnesty International a déclaré dans son rapport de 2015 sur la peine de mort que l’Iran avait exécuté près d’un millier de personnes dans cette seule année ; le nombre le plus élevé depuis 25 ans.
L’Iran a le taux le plus élevé d’exécutions par habitant au monde et aussi celui d’exécutions de mineurs.
Ils utilisent régulièrement la torture et des châtiments horribles comme le fouet (comme dans le cas des jeunes, filles et garçons qui fêtaient leurs diplômes ) ou brûler les yeux à l’acide.
L’idée d’un régime « modéré » iranien a été vendu au public et aux politiciens des pays P5 + 1 qui ont accepté un accord nucléaire en échange de l’engagement de l’Iran de mettre fin à son programme nucléaire, d’autres pays proposent d’ouvrir des relations commerciales avec lui.
Cependant, le pays a continué en 2016 à exécuter des mener des tests ballistiques avec des missiles capables de porter des têtes nucléaires en violation de la résolution 2231 du Conseil de Sécurité des Nations Unies.
Ils sont également une cause majeure de terrorisme à travers le Moyen-Orient, ce qui a des répercussions dans le monde entier. Leur ingérence dans la guerre civile syrienne, en soutien à la dictature de Bachar el-Assad est un contributeur majeur à la crise des réfugiés qui déferlent en Europe.