CSDHI – Le chef de la police de la province de Fars, dans le sud de l’Iran, vient d’annoncer la prochaine mission de ses services : « Nous allons sévir contre la vente des vêtements non conformes au code vestimentaire dans la ville de Chiraz », visant surtout la jeunesse et bien entendu, les femmes.
En effet, rien de plus urgent que de mettre des carcans à la jeunesse à Chiraz qui fut un temps capitale de la Perse. « Ainsi donc les pantalons d’hommes et de femmes élimés et troués, portant des drapeaux étrangers, les manteaux et vêtements courts, sans boutons et portant des inscriptions étrangères, seront sur la liste des vêtements à prescrire. »
Le site officielle Fararu, en bon collaborateur du fascisme religieux, s’est empressé de rapporter l’info le 1 septembre. Les boutiques en infraction seront fermées et mises sous scellés et les vendeurs arrêtés avant d’être déférés au parquet.
Avis à toutes les entreprises françaises qui salivent en rêvant au mirage du marché iranien, de se recycler dans les robes de bure…