Plus de 25.000 personnes ont été contrôlées et 3925 arrêtées dans le cadre d'un plan répressif de « sûreté publique », sous prétexte d'infractions au code vestimentaire.
Selon l'agence de presse Fars du 15 août, Yaddollah Hosseini, chef des gardiens de la révolution de la province du Guilan, a déclaré que 2077 personnes avaient été remises au pouvoir judiciaire