CSDHI – Atena Faraghdani, artiste et activiste civile, a été convoquée à la direction 15 du tribunal de la révolution.
Dans sa plainte, elle protestait contre le harcèlement sexuel qu’elle a subi de la part des autorités de la prison de la Garde révolutionnaire au cours de son incarcération, notamment les fouilles corporelles dégradantes, le fait de l’avoir déshabillé dans sa cellule, les coups et les insultes, la violation de son espace privé en prison en plaçant une caméra en circuit fermé dans la salle de bain et les douches, la confiscation de ses objets personnels notamment son ordinateur portable, sa tablette et les oreillettes de son téléphone et enfin, en refusant de les lui restituer.