CSDHI – Faraji, le responsable des affaires féminines et familiales de la province centrale a déclaré : « Certaines filles du village n’ont même pas bénéficié d’une éducation de base. La condition des femmes du village est bien pire que celle des zones urbaines.
Il n’y a pas des installations de loisirs ou de divertissement pour les femmes. Aucune mesure n’a été prise pour les femmes afin qu’elles puissent pratiquer l’athlétisme et ne disposent d’aucune installation pour cela.
En plus des problèmes existants, les femmes et les filles dans la population active est un problème reconnu et malgré le fait qu’elles n’aient qu’un travail instable, il n’existe aucun programme officiel pour elles et rien n’est pleinement organisé ».
Source : Agence de presse officielle, ISNA