Behnoud Choja’i n’a pas été pardonné. Le dernier délai pour obtenir sa grâce est passé, sans résultat. L’exécution de cet adolescent avait été prévue pour le 7 mai, mais repoussée d’un mois.
Le régime fait porter la responsabilité de cette exécution sur la famille de la victime, qui a refusé de pardonner Behnoud. Les mollahs refusent ainsi de se plier aux conventions internationale qui interdisent l’exécution des mineurs. Ils passent aussi sous silence les 90 autres mineurs qui attendent leur pendaison dans les couloirs de la mort dans les prisons iraniennes.