CSDHI – Il n’existe aucune information du prisonnier politique, Mehdi Farahi Shandiz, après avoir été battu et transféré en isolement dans la prison centrale de Karaj, à l’ouest de Téhéran, en Iran.
Il a été privé d’appels familiaux depuis le 5 janvier sur l’ordre du juge Shahravi, après avoir chanté « Mort au Dictateur » depuis sa cellule.
Le juge n’a pas précisé la période de sa détention dans le quartier de quarantaine et les restrictions auxquelles il serait confronté.
En réponse aux références répétées de la famille de M. Farahi en prison, un autre juge, Mohammad Moghiseh, a déclaré que M. Farahi ne serait pas transféré de la cellule d’isolement au quartier communal.
Source : Les droits de l’homme en Iran