CSDHI – Selon les quotidien E'temad du 12 août, le centre de détention de Kahrizak n'a pas été complètement fermé et certaines personnes sont encore détenues dans ce camp. Or il a été annoncé par les autorités ces dernières semaines que le camp avait été fermé et que les auteurs (supposés gardiens de prison et fonctionnaires impliqués dans la torture des détenus) avaient été arrêtés.