CSDHI – Le procureur de Téhéran, en Iran, Abbas Jafari Dolatabadi, a critiqué des contenus publiés sur un certain nombre de sites Web, y compris des entrevues avec les filles des fonctionnaires, arguant que le hijab devrait être volontaire.
Dolatabadi a déclaré que de telles déclarations étaient contraires à la première clause du troisième article de la Constitution.
« Ceux qui présentent la théorie du hijab comme une norme devraient savoir que la suppression des valeurs religieuses de la société est achevée par des programme progressifs ».
Il a appelé la police à agir conformément à la loi en traitant avec celles qui ôtent leur voile … Le procureur de Téhéran a déclaré que la police avait le devoir de surveiller le cyberespace pour découvrir les personnes qui promeuvent et font de la publicité pour es boissons alcoolisées sur internet.
Source : Agence de presse Tasnim – 14 février 2018