Ces dernières semaines, un comité de la mort composé de tortionnaires en chef du régime des mollahs et présidé par Najaf-Abadi, un vice procureur de Téhéran, a pris ses quartiers à la centrale de Gohardacht dans la ville de Karadj, forçant les condamnés à mort à remplir des formulaires sur les raisons du retard pris dans l’application de leur pendaison. Jusqu’à présent 750 prisonniers ont rempli ce questionnaire.
Depuis le début de la semaine dernière, le comité de la mort a convoqué à la prison les parties civiles de ces condamnés pour les exhorter à demander une accélération de la mise en œuvre de la peine de mort. Si les parties civiles refusent, elles doivent payer à l’administration pénitentiaire une somme exorbitante pour compenser les frais de maintien du prisonnier en cellule. Les bourreaux ont été jusqu’à demander le prix de la corde de la potence aux parties civiles.
Depuis le début de la semaine dernière, le comité de la mort a convoqué à la prison les parties civiles de ces condamnés pour les exhorter à demander une accélération de la mise en œuvre de la peine de mort. Si les parties civiles refusent, elles doivent payer à l’administration pénitentiaire une somme exorbitante pour compenser les frais de maintien du prisonnier en cellule. Les bourreaux ont été jusqu’à demander le prix de la corde de la potence aux parties civiles.
Les dirigeants du régime inhumain des mollahs préparent davantage d’exécutions pour attiser le climat de terreur et empêcher des mouvements de protestations. Ce faisant, ils essaient de faire face à ce qu’ils appellent « un tournant historique difficile », « une renaissance des révoltes de 2009 » , « une situation de guerre » et « une étape de tous les dangers ».