CSDHI – Le 13 septembre, le régime en Iran a pendu trois condamnés à la prison de Vakil-Abad de la belle ville de Chiraz, autre fois connue comme la capitale culturelle de l’Iran et désormais réputée pour ses potences, avec déjà dix exécutions au compteur cette année.
Parmi les trois victimes, deux hommes accusés de vol. Le système des mollahs veut que lorsque que le plaignant grâcie le coupable, ce dernier soit épargné. Or les deux hommes avaient effectivement été grâciés et la mesure dûment enregistrée.
Les mollahs qui traversent actuellement la mère de toutes leurs crises, voient le bateau prendre l’eau de tous les côtés et pensent pouvoir colmater en activant les exécutions. Ces deux hommes ont donc été pendus en violation des propres lois des intégristes au pouvoir.
Cela porte à 16 le nombre de pendaisons au mois de septembre en Iran, en date du 15 septembre, dans le silence religieux des démocraties occidentales.