CSDHI – Le prisonnier politique Arjang Davoudi Zadeh a écrit une lettre au sujet de ses expériences dans la prison de Zabol. Il a écrit en partie :
« J’ai été forcé à l’exil dans la prison de Zabol pendant quelques mois. J’ai été le témoin d’une sorte de torture de mes propres yeux qui est complètement unique. Dans ces sortes de tortures, après les coups et les jurons, avec l’intention d’humilier, les cheveux du prisonnier sont rasés et il est enchaîné à un poteau où tous les prisonniers, gardes et autorités et autres personnels le verront. Il est ensuite laissé dans cet état pendant un certain nombre de jours. Le prisonnier perd conscience du fait de la douleur de ses muscles. Il se mouille parfois … lui-même ».
Arjang Davoudi a poursuivi en disant que la prison de Zabol « est pire qu’être dans une cage » et que les humains sont traités d’une manière « pire que les animaux ».
Source : Site web, Roji Kurd