CSDHI – Selon Masoud Bagherzadeh Karimi, directeur des écosystèmes des zones humides de l’Organisation pour l’environnement, 90 % des zones humides de Salahieh et d’Allahabad dans le sud de Téhéran, en Iran, se sont asséchées.
« L’assèchement de ces zones humides est devenu une source de poussière pour Téhéran. Cela pourrait être une menace majeure la capitale et aggraver le problème de pollution », a-t-il dit.
Malheureusement, plus de 90 % des zones humides de Salahieh et d’Allahabad dans l’ouest de Téhéran et au sud de Qazvin sèchent en raison des systèmes de drainage créés par le ministère de l’agriculture, il y a plusieurs années et ces zones humides sont l’une des principales sources de poussière à Téhéran.
Source : Agence de presse officielle, ILNA – 3 février 2018