Le plus vieux temple protestant de Téhéran situé dans la rue Takht-e-Djamchid a été fermé le 26 mai de manière inattendue sous prétexte de « réparations importantes », indique l’association de la campagne des droits humains en Iran. Les paroissiens qui se sont présentés ce dimanche-là à l’église ont trouvé les portes closes. D’aucuns pensent qu’après des mois de pression, le ministère du renseignement a fini par opter pour ce prétexte afin de fermer ce lieu de culte, le plus ancien où l’on officiait en persan.