CSDHI, le 11 décembre – Le 10 décembre pour la Journée internationale des droits humains, le CSDHI est allé rappeler à la COP21 les deux grands défis de l’Iran: à savoir l’absence de liberté et l’absence d’eau. Soit deux éléments essentiel pour tout être humain.
Les mollahs incapables de résoudre les problèmes économiques et sociaux du peuple iranien, se sert de la répression pour faire taire le mécontentement. Mais de la même façon qu’elle manie la potence, avec plus de 900 exécutions cette année, et détruit la vie autour d’elle, cette dictature religieuse a détruit les ressources en eau en Iran. En surface comme souterraine, l’eau a pratiquement disparu: les lacs sont asséchés, les fleuves sont asséchés, les villes sont rationnées,l’agricuture détruite, et les populations déplacées, apauvries et en proie à les tempêtes de sable abominables. Les cours d’eau ont été détourné par une construction anarchique de barrages, aux mains des gardiens de la révolution. Cette eau qui va servir l’industrie nucléaire et d’armement en Iran et qui laissse une population démunie et assoifée.