CSDHI – L’état de santé de Mohammad Ali Taheri s’est gravement détérioré, lundi 22 février, alors qu’il entamait son quatrième jour de grève de la faim sèche. Sa conscience, ses reins et son cœur sont gravement endommagés.
Les agents de l’Etat sont restés évasifs concernant son transfert vers un centre médical. Le 22 février, ils ont même empêché les avocats de lui rendre visite.