CSDHI – Le peuple iranien est excédé par la dictature et utilise toutes les occasion pour combattre les mollahs avec ses moyens. C’est ce qui s’est passé pour la fête du feu le 15 mars qui a clos l’année iranienne et annonce l’arrivée du printemps.
Téhéran :
Près de la Tour Milad (au nord-ouest de la ville), des jeunes courageux ont brûlé des portraits de Khomeini et de Khamenei lors de la fête traditionnelle du feu.
Dans différents quartiers de Téhéran (notamment Narmak, Madjidieh, Nezam-Abad, Vali-Asr et Tehran-Pars), malgré la présence massive des paramilitaires de Bassidj et des agents en civil du régime, les gens ont célébré la fête du feu dans les rues. Malgré un froid glacial, il y a eu beaucoup de gens dans les rues.
Dans certains quartiers de la ville, notamment les quartiers autour de l’avenue Vali-Asr, il y avait une ambiance de zones de guerre. On entendait partout des bruits de pétards, d’engin pyrotechniques et de grenades artisanales.
Dans le quartier Tehran-Pars, les jeunes ont brûlé des portraits de Khamenei et de Rohani.
Dans plusieurs quartiers de la ville (notamment Jafar-Abad et Elahieh), on a entendu de nombreux bruits de pétards et de grenades artisanales. Un grand nombre de personnes se sont rassemblés dans un parc situé dans le quartier Jafari.
Ahwaz :
Dans différents quartiers de la ville, les habitants ont lancé des feux d’artifices. Il y a eu une foule importante dans les rues.
Ispahan :
Le régime a interdit la circulation sur le pont Siosepol pour empêcher que les gens y célèbre la fête du feu. Mais dans plusieurs quartiers, notamment à Malek-Chahr, les gens se sont rassemblés et ont sauté sur le feu.
Kerman et Babak-Chahr :
Dans plusieurs quartiers de la ville de Kerman, mais aussi à Babak-Chahr (autre ville située dans la province de Kerman), les gens ont célébré la fête du feu, malgré les nombreuses restrictions imposées par les agents du régime des mollahs.