CSDHI – Le 3 mai, 2016, au cours d’un discours prononcé à l’ouverture de la Foire du livre de Téhéran, le président iranien Hassan Rouhani a dit : « Un dessinateur humoriste critique ne doit pas être arrêté et conduit en prison ». Ca n’a pas été le cas pour le célèbre caricaturiste iranien, Touka Neyestani, parmi le nombre croissant d’Iraniens emprisonnés qui ont exprimé leurs opinions en tant que journalistes et utilisateurs de médias sociaux.
Source : Campagne internationale pour les droits de l’homme en Iran