CSDHI – Ed Rendell est l’ancien gouverneur de Pennsylvanie et ancien président du Comité national démocrate. Il est également le président du comité organisateur de la Convention nationale démocratique, donc il n’était pas disponible pour assister à la conférence « Iran libre » qui s’est tenue à Paris, le 9 juillet. Le message de soutien qu’il a envoyé a été publié dans le Washington Times, le 13 juillet.
Bien que dans l’incapacité d’être présent en personne, il jure que son engagement est aussi fort, peut-être même plus fort que jamais. Il dit que son engagement le plus important est de voir un jour un Iran libre. Sous la direction de Maryam Radjavi, il croit que cet objectif sera atteint.
Il a dit : « Il ne fait aucun doute dans mon esprit que nous allons vivre pour voir un Iran libre et prospérer à nouveau. Je voulais aussi vous dire que notre engagement envers les gens merveilleux qui se trouvent dans le camp Liberty est aussi fort qu’il ne l’a jamais été ».
Il a dit qu’il croit que les États-Unis ont une obligation à la fois légale et morale de protéger les résidents du camp Liberty, et il a promis de maintenir la pression pour assurer qu’il n’y aura pas d’autres effusions de sang. Il a félicité les résidents du camp Liberty, en disant : « la façon dont vous vous êtes conduits et la façon dont vous êtes restés là-bas sous une pression énorme, a été un signal lumineux pour les hommes et les femmes partout dans le monde. Vous avez gagné l’admiration et le respect non seulement du peuple d’Amérique mais aussi du monde entier ».
Source : Stop au Fondamentalisme