CSDHI –A Chiraz, dans le sud de l’Iran, les agents ont installé des barrières en forme de cages pour y entasser les jeunes qu’ils raflent dans les rues de la ville.
Cette mesure humiliante s’est heurtée à une vague de protestation reprochant aux agents de porter atteinte à la dignité des jeunes, parqués, les yeux bandés.
Un journaliste iranien qui vit en Italie, Farahmand Alipour, avance que des ressortissants non iraniens figurent aussi parmi les personnes exposées.
L’agence de presse officielle Isna a publié toute une série de photos le 7 septembre, où on remarque des caises de CD de fils et de musiques, des ordinateurs et des écrans frappés du sceau « vols », des motos, etc… Quand le régime expose, il le fait dans la rue et dans la presse.