CSDHI – Les droits de l’homme en Iran sont bafoués, salis, voire ignorés. Une situation qui ne peut davantage perdurer, et qui interpelle des milliers de personnes à travers le monde. Mais ce n’est pas encore suffisant. C’est l’ensemble du peuple du monde qui doit se mobiliser, se rassembler et se joindre aux combats menés par l’OMPI (Organisation des Moudjahidines du Peuple d’Iran) depuis des années.
Le Royaume Uni et plus particulièrement le Premier Ministre britannique sont interpellés par d’anciens prisonniers politiques, selon ce que rapporte le Church Times.
En Suède, des sympathisants de l’OMPI ont rejoint le mouvement, parce que le silence sur les exécutions en Iran ne peut s’enraciner dans l’indifférence morale mondiale.
Le 28 août dernier, le régime fondamentaliste iranien s’est opposé à ce que les familles des prisonniers politiques exécutés lors du massacre de 1988 (30 000 prisonniers politiques ont été exécutés au cours de cet été là) puissent commémorer, au cimetière Kharavan (près de Téhéran), la mort de leurs proches : c’était le 27eme anniversaire de leur massacre.
Madame Radjavi, la présidente élue de la résistance iranienne a, à cet égard, diffusé un message à Berlin, en mémoire des personnes massacrées lors de l’été 1988.
Ce mot « DROIT », pourtant si précieux, n’a plus aucun sens en Iran. Plus aucun citoyen iranien n’a de droits en Iran, hormis ceux que s’arroge le régime officiel dirigé par les mollahs.