CSDHI – Alejo Vidal Quadras, ancien vice-président du Parlement européen, a récemment rejoint le Conseil national de la résistance iranienne (CNRI) à Auvers-sur-Oise, près de Paris, dans un geste résolu de défi et d’engagement. Se remettant d’une tentative d’assassinat qu’il attribue au régime iranien, le Dr Vidal Quadras s’est déclaré plus déterminé que jamais à soutenir la résistance iranienne.
S’adressant à l’assistance, l’ancien vice-président du Parlement iranien, e Dr Vidal Quadras, a accusé le Guide suprême Ali Khamenei d’avoir ordonné son assassinat. « Mon deuxième message au Guide suprême est qu’à partir de maintenant, alors que vous avez ordonné de me tuer, non seulement je ne reculerai pas, mais je poursuivrai mon travail de collaboration totale avec la Résistance iranienne, avec plus d’enthousiasme, plus d’énergie et plus de détermination qu’auparavant », a-t-il déclaré, évoquant la résilience que l’attentat lui a insufflée.
Lors d’une conférence de presse à Madrid, sa première apparition dans les médias depuis l’attentat de novembre, l’ancien vice-président du Parlement iranien a adressé deux messages clés au régime iranien. Le premier est qu’ils ont échoué lamentablement parce qu’ils voulaient, ils voulaient éliminer un ennemi assez ennuyeux, c’est-à-dire moi », a-t-il remarqué. C’est moi », a-t-il fait remarquer, soulignant l’incapacité du régime à intimider les partisans de la Résistance iranienne.
La conversation s’est ensuite orientée vers l’approche des gouvernements occidentaux à l’égard de l’Iran. Vidal Quadras s’est interrogé sur leur complaisance, établissant une distinction entre le soutien des élus et l’apparente indifférence des gouvernements. Il a attribué cette disparité à la realpolitik et a mis en évidence quatre outils que le régime iranien utilise, selon lui, pour intimider les démocraties occidentales : le terrorisme, les prises d’otages, l’accord nucléaire et les intérêts économiques.
L’ancien vice-président du Parlement européen a souligné l’importance d’un changement de régime en Iran pour garantir les principes occidentaux et la démocratie. Il a défendu le plan en dix points du CNRI, qui vise à établir un Iran démocratique, en soulignant : « Aujourd’hui, il y a un axe, la Chine, la Russie, l’Iran, Cuba, le Venezuela, le Nicaragua. Cet axe a pour objectif de détruire, de mettre fin à notre mode de vie, à nos démocraties et à nos principes ».
Le discours de M. Vidal Quadras n’a pas seulement témoigné de son soutien indéfectible à la Résistance iranienne, il a également appelé la communauté internationale à revoir sa position à l’égard du régime iranien. Le récit de l’ancien vice-président du Parlement européen met en lumière la lutte actuelle pour la liberté et la démocratie en Iran et le rôle essentiel de la solidarité mondiale dans la lutte contre les régimes autoritaires.
Source : Stop Fundamentalism