CSDHI – Le régime en Iran est sur le point d’exécuter un jeune, aujourd’hui âgé de 24 ans, pour un délit commis lorsqu’il n’avait que 16 ans.
Hamid Ahmadi est accusé d’homicide en raison d’un coup de couteau lors d’une bagarre qui a dégénérée et qui a conduit à la mort de la victime.
Amnesty Internationale exhorte dans un appel Téhéran à stopper tout ses plans pour appliquer la sentence.
Violant ses obligations internationales qui lui interdisent de punir de la peine de mort un mineur, le régime des mollahs viole aussi ses propres lois en voulant accélérer les choses, puisque le dossier de ce jeune prisonnier est en plein examen.
Depuis l’arrivée du férocement modéré Rohani à la présidence des mollahs, les exécutions sont montées en flèche et dépassent les 1300. Un chiffre effroyable que l’ONU et les ONG ont dénoncé, mais face auquel les gouvernements occidentaux gardent un silence suspect qui encourage la dictature religieuse à exécuter davantage.