CSDHI – Le régime misogyne en Iran a condamné à mort une femme pour adultère dans la province d’Alborz.
Le site Fararu qui rapporte cette nouvelle le 19 décembre, explique que cette jeune femme accablée par “des preuves indéniables” n’a « pas pu se défendre et a plaidé coupable ».
Les lois de la dictature religieuse en Iran sont impitoyables pour les femmes, surtout quand il s’agit de la vie privée qui est totalement sous contrôle de l’inquisition.
Le 16 mai 2014, Rupert Colville, porte-parole du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme rappelait que « l’adultère n’est pas un crime et ne devrait pas être puni ni par la prison, ni par des punitions corporelles, ni par la peine de mort. »