CSDHI – Le régime des mollahs a interdit la couverture médiatique de la manifestation des opposants et des protestataires par la presse étrangère.
Mme Maryam Radjavi a estimé que cette mesure préparait le terrain à une répression plus sévère du soulèvement populaire. Alors que les scènes de tirs sur les manifestants et les images des tués et du matraquage de la jeunesse dont la seule demande est la liberté, suscitent la colère et l’indignation dans monde, le régime des mollahs se prépare, loin du regard de la presse et des caméras, à intensifier cette répression.
Pour la présidente élue de la Résistance, ces plans criminels ne pourront sauver ce régime sanguinaire de la colère et de la haine générale que les Iraniens ont laissé éclater ces derniers jours dans leur soulèvement.
Entre-temps, Dari Nadjaf Abadi, le procureur général du régime, a menacé le 16 juin les manifestants en disant que « la moindre infraction et la moindre atteinte à la sécurité publique sera sanctionnée » et que «les troubles, les délits, les désordres, les atteintes à la sécurité publique, aux intérêts publics et aux intérêts nationaux, quels qu’ils soient, seront sanctionnés. »