CSDHI – Le régime des mollahs en Iran est le symbole même de la misogynie. Le fondateur de la République islamique d’Iran, Rouhollah Khomeini, est arrivé au pouvoir en 1979. Il avait alors promis l’égalité des droits et la liberté pour les femmes iraniennes.
Mais en mars 1979, il a abrogé les lois qui soutenaient les femmes. Puis, il a interdit aux femmes, qui ne portaient pas le hijab, d’entrer dans les bureaux.
Ensuite, il a interdit aux femmes de se rendre dans les stades.
Ses agents ont banni les athlètes féminines iraniennes de nombreux terrains de sport. Ensuite, les filles n’ont plus eu le droit d’étudier toutes les filières universitaires.
Khomeini a également ratifié des lois brutales telles que « la loi du Talion » et la mort par lapidation.
Au cours de l’été 1980, le régime a annoncé que le hijab était obligatoire.
L’actuel président de la République islamique, Hasan Rouhani, est devenu l’exécuteur de Khomeini concernant les lois sur le hijab obligatoire.
Les années 80 ont été marquées par une répression impitoyable des droits civils et l’exécution de prisonniers politiques.
Les jeunes femmes qui avaient joué un rôle contre la dictature du Shah s’opposent à nouveau au régime clérical.
Le régime a exécuté et abattu des dizaines de milliers de femmes.
La répression des femmes se poursuit en Iran.
Hassan Rouhani, qui prétend être un président modéré, a exécuté 114 femmes au cours de ses huit années de pouvoir.
L’Iran est le premier pays du Moyen-Orient pour l’auto-immolation des femmes.
Mais les femmes ont également pris les devants dans les protestations à travers le pays.
Lors des manifestations nationales de 2018 et 2019, les femmes ont mené les rassemblements dans de nombreuses villes.
Elles continuent de jouer un rôle essentiel dans la lutte pour la liberté en Iran.
Source : Iran News Wire