CSDHI – mmMahmoud Mehrabi, un résident de Mobarakeh, Isfahan, qui est emprisonné à la prison centrale de Dastgerd à Isfahan depuis le 1er février 2023, et dont l’état physique est inapproprié, a été agressé et blessé par des détenus du quartier des crimes dangereux le mercredi 10 avril 2024.
Selon les rapports reçus par Iran Human Rights Monitor (Iran HRM), la situation de M. Mehrabi est extrêmement alarmante en raison de son transfert dans la section des crimes violents et des menaces de mort qu’il a reçues du Département des Renseignements et du système judiciaire de la province d’Isfahan.
Auparavant, la deuxième section d’enquête du bureau du procureur public et révolutionnaire de Mobarakeh, dans la province d’Ispahan, avait émis un acte d’accusation contre M. Mahmoud Mehrabi, sous 187 chefs d’accusation, dont « corruption sur terre par la publication généralisée de mensonges sur Instagram, propagande contre l’État, incitation des forces militaires et des forces de l’ordre à refuser d’exercer leurs fonctions, incitation à la guerre et au meurtre, et insulte à Khomeini ».
L’accusation de corruption sur terre a été lancée contre Mahmoud Mehrabi sans raisons suffisantes. Les services de renseignement du CGRI ont déployé des efforts considérables pour fabriquer un dossier contre Mahmoud Mehrabi. Bien que Mahmoud Mehrabi ne soit qu’un manifestant dans le cyberespace, les services de renseignement prévoient de déposer un dossier sérieux contre ce prisonnier politique.
Pendant sa détention, M. Mehrabi a souffert d’une hernie inguinale à cause de la torture, du harcèlement et des mauvais traitements subis au centre de détention des gardiens de la révolution. Il a également été privé de l’accès à une représentation juridique.
Traduit avec DeepL.com (version gratuite)