L’agence de presse officielle des mollahs Isna a rapporté le 17 juillet, l’exécution de trois détenus dans la prison de Kerman.
Yadollah Movahed, procureur de la ville qui a rendu publique la nouvelle, en précisant que les demandes de grâce des accusés avaient été rejetées et que la direction du pouvoir judiciaire avait confirmé leurs peines.
Effrayé par le printemps arabe qui progresse en Syrie contre son allié Bachar al-Assad, et redoutant le mécontentement social en Iran, le régime iranien multiplie les exécutions pour créer un climat de terreur, espérant ainsi contenir la colère populaire.