CSDHI – Le 16 mai, la veille d’une rafale de pendaisons en Iran, Javad Larijani, théoricien de la torture et des exécutions du régime iranien, a confirmé « un avalanche d’exécutions liées à la drogue » en Iran. Ce président du « conseil des droits de l’homme » (sic), appartient à la fratrie diabolique des Larijani qui met le pays à feu et à sang.
Il est en effet le frère de Sadegh Laridjani chef du judiciaire et frère d’Ali Larijani président du parlement des mollahs. Ce criminel contre l’humanité s’est indigné de ce que les châtiments cruels en Iran puissent être critiqués: « Malheureusement aujourd’hui on remet en question la peine du talion qui est un chatiment sacré… Le caractère universel des documents de l’ONU ne signifient pas que le mode de vie occidental soit le meilleur… C’est exactement sur ce point qu’il nous faut résister. »
Il a ensuite défendu la torture : « Cerains disent que tout chatiment corporel revient à de la torture, tandis que la torture c’est faire usage de la force pour extirper quelque chose. »
Il a été suivi par le procureur criminel de Téhéran, Dolatabadi qui a lancé: « Les autorités des pays occidentaux brandissent toujours contre l’Iran des allégations concernant les droits humains qui ne sont basées sur rien dans la réalité. »